samedi 17 mars 2007

2191 nuits


Jeudi soir, la 4e pièce (déjà) de la saison du théâtre d'aujourd'hui nous attendait. 2191 nuits, le titre ne donnait pas vraiment idée de ce que ça allait être. On arrive un peu pressées après avoir englouti du poisson à la vitesse de l'éclair. Le spectacle commence.. Oh my god, KOSSÉ ÇA sont les vocables qui me sont passées par la tête. Première scène : à droite de la scène, un homme et une femmes enlacées à moitié nus. À gauche, un vieil homme habillé en blanc qui parle à un enfant visiblement en glace... J'étais supris et j'avais hâte de savoir de quoi la pièce parlait. Mais plus le temps passait, plus les choses s'éclaicissaient et je n'ai totalement pas été déçue! Au début je n'aimais pas que des acteurs de théâtre parle dans des micros, mais ça fait prti du concept. On a le droit à des projections, des tempêtes de vents, un avion qui a de vraies turbulences et une musique qui remplit votre tête en même temps que vos oreilles. Ce sepctacle d'une heure est une expérience, où le spectateur doit être alerte. À voir pour le visuel, la poésie dans certains passags du texte et surtout le merveilleux jeu de Michel Mongeau qui nous émeut dès le départ avec cette phrase dite à son fils : "Si les Inuits ont 50 mots pour désigner la neige, il n'y en a pas un de juste pour te dire ce que je veux te raconter".

Synopsis :
Histoire troublante d'un père qui se réveille 2191 nuits après s'être fait greffer le coeur de son fils suite à la mort de ce dernier et de sa femme dans un accident d'avion.

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